​UNE RÉSURGENCE DU PALUDISME ENTRAÎNERA DES PERTES HUMAINES ET UN EFFONDREMENT DES ÉCONOMIES
Notre nouveau rapport met en garde les dirigeants mondiaux : si le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme n’atteint pas son objectif de 8e reconstitution des ressources, le monde risque de connaître la plus forte résurgence du paludisme jamais enregistrée, coûtant des vies humaines, freinant les économies africaines et perturbant le commerce mondial.
VOICI LA CRÉATURE LA PLUS COÛTEUSE ET LA PLUS MEURTRIÈRE AU MONDE
QUEL EST LE COÛT DE LA RÉDUCTION DU FINANCEMENT DE LA LUTTE CONTRE LE PALUDISME ?
Les faits sont clairs : financer la lutte contre le paludisme n’est pas seulement un investissement dans la santé, cela stimule la croissance, protège le commerce et garantit un monde plus fort, plus sûr et plus prospère pour tous. Sous-financer cette lutte risque de déclencher la plus forte résurgence du paludisme jamais enregistrée, compromettant ainsi le potentiel économique et la croissance mondiale globale.
83 MILLIARDS $
BAISSE
Si la prévention du paludisme s'effondre, l'Afrique subsaharienne pourrait perdre 83 milliards de $ US de PIB d’ici à 2030. Maintenir le cap vers l’élimination du paludisme pourrait stimuler l'économie à hauteur de plus de 231 milliards de $ US.
BAISSE DE 3,4 MILLIARDS $
Cela mettrait en péril 3,4 milliards de $ US d’exportations vers les pays du G7 contre un gain potentiel de 10,3 milliards de $ US si nous restons sur la bonne voie pour mettre fin au paludisme.
REJOIGNEZ-NOUS POUR EN SAVOIR PLUS
Nous organisons un webinaire sur les risques de résurgence du paludisme, de freins à la croissance et de conséquences néfastes pour l'avenir de toute une génération, liés au sous-investissement dans la lutte contre cette maladie.
DATE : 6 novembre 2025
HEURE : 13 h 00 GMT
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Ce webinaire sera disponible avec une interprétation en anglais, en français et en portugais.
POURQUOI INVESTIR MAINTENANT ?
2025 est une année cruciale pour la lutte contre le paludisme, car nous entrons dans le 8e cycle de reconstitution des ressources du Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme. Les efforts de contrôle et d’élimination du paludisme sont compromis, les communautés et les programmes étant confrontés aux conséquences des récentes coupes budgétaires. Nous sommes actuellement dans une situation propice à une résurgence du paludisme, avec des phénomènes météorologiques extrêmes, une résistance croissante aux médicaments et aux insecticides, des crises humanitaires et une instabilité mondiale. Alors que la croissance économique en Afrique reste fragile, une résurgence du paludisme en Afrique subsaharienne pourrait avoir des conséquences dévastatrices.
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Deux décennies de progrès sont menacées, coûtant des vies, perturbant les entreprises et le commerce, et menaçant les moyens de subsistance de millions de personnes.
Les dirigeants mondiaux doivent investir dans la lutte contre le paludisme et dans le Fonds mondial pour sauver des vies et débloquer la croissance économique.
Notre nouveau rapport paraît à un moment charnière de l’histoire de la santé mondiale. Les enjeux économiques potentiels sont clairs : investissez dans la lutte contre le paludisme et le Fonds mondial et soutenez la prospérité de l’Afrique et le commerce mondial. Limitez votre soutien et une résurgence du paludisme pourraient frapper durement les communautés vulnérables et freiner la croissance économique.
RÉSURGENCE DU PALUDISME : L’IMPACT RÉEL
Ces récits révèlent l’impact de ce qui pourrait devenir la résurgence la plus meurtrière jamais enregistrée. Ils illustrent, à grande échelle, l’augmentation dévastatrice de la mortalité infantile, la perte de moyens de subsistance et le ralentissement de la croissance économique qui s’ensuivraient.
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L’ACTION DU FONDS MONDIAL POUR LUTTER CONTRE LE PALUDISME
Ce rapport modélise les conséquences économiques et sociales de différents scénarios de financement de la lutte contre le paludisme, en prévision de la 8e reconstitution des ressources du Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, prévue à la fin de cette année. Il s’agit d’une institution essentielle qui joue un rôle crucial dans la lutte contre le paludisme. Sans financement intégral, nous risquons une augmentation considérable des cas et des décès liés au paludisme.
